Après Pyeongchang 2018, le continent asiatique accueillera les deux autres olympiades suivantes. L’opportunité pour ces protagonistes de coopérer dès le premier acte de cette série.
Pyeongchang 2018, Tokyo 2020, Pékin 2022 : l’Asie incarnera en continu l’avenir proche du mouvement olympique et paralympique avec ces trois rendez-vous. Trois rendez-vous, trois organisateurs, trois pays mais une volonté commune : trois succès.
Cette volonté s’est concrétisée un peu plus le 26 août dernier à Kyoto où le ministre sud-coréen de la Culture, du Sport et du Tourisme Do Jong-hwan réuni avec ses homologues chinois et japonais – Luo Shugang et Yoshimasa Hayashi – a sollicité le soutien des gouvernements chinois et japonais aux JO d’hiver de 2018. Réponse positive de la Chine et du Japon qui ont promis une coopération active.
Les trois ministres ont souligné toute l’importance de la culture et des arts pour assurer le succès des trois olympiades à venir et ont décidé d’organiser divers programmes culturels conjoints, signant en ce sens une « Déclaration de Kyoto ».
Ils ont parallèlement sélectionné Busan (Corée du Sud), Harbin (Chine) et Kanazawa (Japon) comme les villes culturelles de l’Asie de l’Est 2018.